Roland Vogel est un homme politique influent que la vie a plutôt gâté. Dans le civil, il dirige une entreprise prospère d’import-export en région Île-de-France. Sa passion dévorante pour une jeune femme lui fait perdre la tête, l’amenant à mener une double vie que ni sa femme ni ses proches ne soupçonnent.
Lorsqu’un matin au réveil, il retrouve sa jeune amante décédée à ses côtés, les mâchoires d’un terrible étau vont se refermer sur lui, malgré les initiatives un peu folles qu’il va être amené à prendre pour tenter d’échapper au scandale familial et politique, à un maître chanteur qui le harcèle et aux eaux troubles du milieu de la prostitution.
Après L’homme qui voulait rester dans son coin, Habemus Praesidem et Miss Smart, Manou Fuentes nous convie avec ce quatrième roman à une aventure sombre et rocambolesque qui fera frissonner le lecteur.
Une petite tachycardie et voilà Muguette Lagrange reléguée dans la maison familiale de Saint-Foins-les-Moussons. Le calme et le silence de la campagne, ce n’est pas vraiment du goût de la vieille dame.
Alors, quand elle apprend que l’on a découvert au manoir des Furets le corps d’une majorette, elle prend l’affaire en main. Entre rumeurs et non-dits, les masques vont tomber, laissant entrevoir peu à peu le véritable visage de ce petit village de campagne aux allures de carte postale.
Muguette Lagrange est un clin d’œil à la célèbre miss Marple d’Agatha Christie, dont les livres ont marqué l’adolescence de l’auteur.
Alors installez-vous confortablement avec un thé, et venez tester vos talents d’enquêteur en compagnie d’un détective pas tout à fait comme les autres.
Au cœur de Silver Owl, depuis trois cents ans, une légende prospère, jalousement gardée.
Le dimanche, au cœur des ténèbres, entre minuit et 10 heures, le Livreur opère. Et un mystérieux colis noir apparaît sur le chemin d’un des habitants.
« Ce que vous désirez le plus au monde », voilà ce qu’il vous offre. Il ne se trompe jamais. Il ne demande rien en retour.
Et personne ne l’a jamais vu.
De lui, on ne connaît que sa légendaire signature : « Au plaisir de ton bonheur, le Livreur ».
Une ombre fugace, la lueur dans l’obscurité ; il est le héros de chacun.
Qui est-il ? Quel est son objectif ? Tant de questions demeurent sans réponses…
Cependant, pour la première fois en trois cents ans, le Livreur a commis une erreur… Une erreur qui pourrait bien mener Mélie sur sa piste.
Parviendra-t-elle à être plus rusée que son héros ? Fondez-vous avec elle dans les pas du Livreur, et plongez au cœur de ses secrets.
Un soir, au musée de Chantilly, le corps mutilé d’un jeune garçon est retrouvé par des membres du personnel. Mais un détail sur la victime fait trembler les plus hautes autorités de l’État, immédiatement prévenues : une lettre du tueur, aux armes du Vatican.
Ce qui semblait de prime abord un meurtre sordide va révéler une affaire d’une immense ampleur qui obsède la chrétienté depuis des siècles, entraînant dans son sillage des personnalités qui se seront volontairement mises en danger au nom de leur foi.
Plusieurs protagonistes vont ainsi se précipiter dans une chasse au trésor afin d’exhumer (ou détruire, selon les motivations de chacun) une relique dont, au départ, ils ne savent à peu près rien.
Cette quête périlleuse les entraînera dans un voyage où Histoire et légendes se mêleront pour révéler un secret capable d’ébranler les fondations de l’Église catholique.
Si l’on prend la peine de feuilleter un dictionnaire français-gaulois, on comprendra aisément que Tevelune signifie « Eaux calmes ».
Il suffira de chercher encore un peu pour apprendre que le Korrandon est un nain de source, cousin lointain du Korrigan. Mais rien de tout cela ne nous aidera vraiment à savoir qui est la Korrandine, ce squelette de femme que Vincent a découvert dans la grotte derrière la fontaine de Tevelune.
Depuis le Moyen Âge jusqu’à l’occupation de Sourcarol par les Allemands, en passant par la fabrication des ponnes au XIXe en Charente, les Chinels de Wallonie et bien d’autres choses encore, Vincent part à la recherche de La Korrandine de Tevelune, sur des chemins qui le conduiront du réel à l’imaginaire, d’une Korrandine à une autre.
Barnabé arrive à l’âge adulte. C’est un homme-enfant, un handicapé mental, qui découvre sa différence dans le regard des autres. Et le regard des autres, c’est surtout celui de Vanessa, la jolie métisse arrivée tout droit de la région parisienne, dont il tombe éperdument amoureux.
Un handicapé mental amoureux d’elle ? Voilà qui fait bien rire Vanessa, et beaucoup souffrir Barnabé.
Aussi, lorsqu’une série d’incendies volontaires se déclenche tout autour de Montdunon, il ne manque pas de témoins pour affirmer que l’on a vu Barnabé et son scooter rouge rôder aux alentours.
Se vengerait-il des sarcasmes dont il est l’objet ? Ou bien fait-il un coupable idéal ? Barnabé est-il un incendiaire ou un bouc émissaire ? Il affirme qu’il est innocent, mais doit-on le croire simplement parce qu’il est handicapé ?